Fête de la Bibliopirogue – du 1 au 3 juillet 2011
5° édition / Accès gratuit / Port Maillard / 49800 La Daguenière(Bord de Loire route de Saumur)
PROGRAMME
Vendredi 1 Juillet 2011
21h00 : Cinémas : projection de « Ntomu, Ntonu, du goût au commencement »et « Lumbuzi – la feuille médicinale » du réalisateur Jean Marc POATY
( projection en plein air au port Maillard)
Samedi 2 Juillet 2011
15h00 : Arrivée de la pirogue « BRIGITTE »
Percussions et chants KONGOS
Chants de Loire par la GAULE DE BOIS
15h30 : Percussions, « Les enfants de la DAGUE »
16h00 : Spectacle en famille, « Le réveil en cascade »
Alphonse KONATÉ et Pierre PARÉ
16h30 : Contes, les conteurs de la JABOTÉE et Richard MAHOUNGOU,
Charles TESTARD
17h00 : Initiation à la danse africaine,
RUFFINE , Cie Punta Négra
17h30 : Lecture, extrait de texte "Les lucioles noires"
de Victor BOUADJIO
18h00 : Contes, Gabriel KINSA
19h00 : Musique, YELA-WA
20h00 : Jazz, SAṄGAMA avecCharlotte WASSY (vocal) et Julien LALLIER (piano)
21h00 : Musique, La MÊLEE
Exposition de marionnettes, « Les têtes en l'air »
Porte ouverte, atelier de sculpture, Frédérique WEYGAND
Coiffure, tresses africaines par RUFFINE
Bibliobus Itinéraire Sud
Restauration sur place, fouées de Philippe BLANCHARD
Dimanche 3 Juillet 2011
11h00 : Rencontre avec Victor BOUADJIO auteur de « Les lucioles noires »
au café de la mairie chez Bernard, dédicaces, causerie autour d'un verre,
animée par Jeannine PLARD
Fête de la Bibliopirogue 2011
5° édition / Accès gratuit / Port Maillard / 49800 La Daguenière (Bord de Loire route de Saumur)
PROGRAMME
Vendredi 1 Juillet 2011
21h00 : Cinémas : projection de « Ntomu, Ntonu, du goût au commencement » et « Lumbuzi – la feuille médicinale » du réalisateur Jean Marc POATY ( projection en plein air au port Maillard)
Samedi 2 Juillet 2011
15h00 : Arrivée de la pirogue « BRIGITTE »
Bateaux de Loire des Frères MARAIS
Percussions et chants KONGOS
Chants de Loire par la GAULE DE BOIS
15h30 : Percussions, « Les enfants de la DAGUE »
16h00 : Spectacle en famille, « Le réveil en cascade »
Alphonse KONATÉ et Pierre PARÉ
16h30 : Contes, les conteurs de la JABOTÉE et Richard MAHOUNGOU,
Charles TESTARD
17h00 : Initiation à la danse africaine,
RUFFINE , Cie Punta Négra
17h30 : Lecture, extrait de texte "Les lucioles noires" de Victor BOUADJIO
18h00 : Contes, Gabriel KINSA
19h00 : Musique, YELA-WA
20h00 : Jazz, SAṄGAMA avecCharlotte WASSY (vocal) et Julien LALLIER (piano)
21h00 : Musique, La MÊLEE
Dimanche 3 Juillet 2011
11h00 : Rencontre avec Victor BOUADJIO auteur de « Les lucioles noires »
au café de la mairie chez Bernard, dédicaces, causerie autour d'un verre,
animée par Jeannine PLARD
Exposition de marionnettes, « Les têtes en l'air »
Porte ouverte, atelier de sculpture, Frédérique WEYGAND
Coiffure, tresses africaines par RUFFINE
Bibliobus Itinéraire Sud
Restauration sur place, fouées de P. BLANCHARD
stages de danse africaine
Les associations Zenga-Zenga et Yédélé,
vous
proposent deux stages de danse africaine
à La Daguenière avec
Falila Taïrou
... le
dimanche 13 Février 2011
- pour enfants à
partir de 6 ans de 10h00 à 12h00
- et pour adultes de 13h30 à
16h30
Salle de l’Ecot à La Daguenière
En présence des
percussionnistes
Les associations Zenga-Zenga et Yédélé,
vous proposent deux stages de danse africaine
à La Daguenière avec
Falila Taïrou
... le dimanche 16 janvier 2011
- pour enfants à partir de 6 ans de 10h00 à 12h00
- et pour ados/adultes de 13h30 à 16h30
Salle de l’Ecot à La Daguenière
En présence de deux percussionnistes
N'hésitez pas à faire circuler ce message !!
Bonnes fêtes de fin d'année
Bulletin d'inscription en pièce jointe
Tarifs :
Enfants: 20 euros pour les adhérents à Zenga-Zenga et Yédélé
et 25 euros pour les non adhérents
Ados/Adultes: 30 euros pour les adhérents à Zenga-Zenga et Yédélé
et 35 euros pour les non adhérents
Inscription : Joindre le règlement par chèque (à l’ordre de Zenga-Zenga)
au coupon d’inscription ci-dessous
Renseignements au 02 41 72 54 63
(Coupon
d’inscription à envoyer ou déposer dans la boite aux lettres de
l’association Zenga-zenga au 3 bis rue du clos , 49 800 La Daguenière)
NOM :………………………………………..……………………
PRENOM :…………………………………………………………………
Adresse :…………………………………………………………………
Téléphone : ……………………………………………………………………
Email : ……………………………………………………………………
Inscription: pour le stage Enfants de 10h00 à 12h00
pour le stage Ados/Adultes de 13h30 à 16h30
Date : Siganture :
Falila TAÏROU
Falila TAÏROU
Métisse d’origine française par sa mère et béninoise par son père, elle navigue aisément entre ses deux pays où elle a vécu, entre ses deux cultures, entre danse contemporaine et danses africaines et aujourd’hui, entre le village de Nioro-Kolina et celui de Rochefort sur loire.
Danseuse professionnelle, elle a eu une formation de base en danse contemporaine et un cursus de conservatoire. En 1995 elle obtient le diplôme d’Etat en danse contemporaine et continue à se former par la rencontre de chorégraphes sous forme de stages ou master classes. Elle se replonge par la suite dans les danses et chants traditionnels au Bénin, auprès de danseurs du ballet national, puis au Sénégal chez Mustapha N’Diaye Rose et en France auprès de grands chorégraphes africains.Elle danse pour la Compagnie afro contemporaine Kossiwa en 2004.
Pour élargir son champ de recherche, elle suit un cursus théâtral avec l’école de cirque Jo Bitume, fait un travail sur la voix et le chant et se forme à l’animation d’ateliers d’expression créatrice.
Professeur de danse depuis plus de 10 ans, elle s’intéresse aux dimensions humaines et expressives dans la transmission des danses traditionnelles enrichies par les qualités artistiques des danses contemporaines, du théâtre et du chant. La complémentarité des techniques artistiques et le métissage des cultures font également la base de ses créations. En 2007, elle réunit un ensemble de musiciens professionnels pour créer le spectacle BALDESCAL ; une création originale entre spectacle et bal moderne, un bal pour danseurs du quotidien.
La troupe congolaise Zenga Zenga présente l’Ogrelet au 2ème Fita
Défier les lois de la nature pour un monde meilleur
Le Congo Brazzaville était présent au 2ème Festival international du théâtre d’Alger (Fita), à travers la représentation de la pièce l’Ogrelet de la troupe Zenga Zenga, à la salle Hadj Omar.D’après le texte écrit par la Canadienne Suzanne Lebeau, l’Ogrelet est mis en scène par le Congolais George M’Boussy qui souligne à propos de la pièce : «C’est l’histoire d’un enfant qui défie les lois de l’hérédité : on hérite des parents, leur vécu mais aussi leurs interdits. Et l’interdit fondamental dans cette famille est de ne pas aller au-delà des croyances et des acquis qu’ils avaient. L’enfant qui va naître va aller au-delà de ces acquis, en quête de sérénité, quitte à se brûler les ailes». Sur scène, les spectateurs découvrent le décor illustrant l’intérieur d’une hutte africaine, ainsi que d’autres éléments scéniques qui les invitent à un voyage au cœur de l’Afrique.La pièce relate l’histoire du petit Simon, enfant de six ans trop grand pour son âge, couvé par sa mère qui le protège depuis sa naissance du terrible secret de sa filiation. Elle le nourrit de légumes du potager qu’elle cultive elle-même, lui évitant toute consommation de chair fraîche et même la vue du sang.Mais vint le jour où Simon doit entrer à l’école et côtoyer les autres enfants du village. Adopté par la maîtresse qui apprécie ses qualités de bon élève, l’enfant va peu à peu être rattrapé par sa véritable nature suite à la vue de la couleur rouge omniprésente qui le fascine et surtout à un incident qui lui fait découvrir le goût du sang. Retrouvant son instinct de dévoreur de chair, il est amené à dévorer un lièvre dans la forêt. Suite à cela, sa mère désemparée, lui révèle la vérité sur la nature de son père qui était un ogre ayant préféré fuir la maison lorsqu’elle était enceinte, afin qu’il puisse survivre, car le père n’avait pas pu résister à sa nature et avait dévoré ses six premières petites filles.Elle lui apprend aussi que pour briser la malédiction du sang, il fallait qu’il passe par trois épreuves dont l’ultime est celle de résister pendant
28 jours, dans une
cachette, avec un enfant sans le dévorer. Mais personne avant lui
n’avait réussi à sortir vainqueur de ces épreuves. Simon s’enfuit alors
dans la sombre forêt emportant avec lui sa camarade de classe préférée,
Pamela. Au final, il réussira à vaincre les épreuves et peut alors
retourner à l’école et vivre son enfance auprès de ses camarades en
toute quiétude. Le public a fortement applaudi la pertinence de la mise
en scène de ce conte initiatique, basé sur les mécanismes de l’art du
griot à travers notamment l’invitation à suivre le vécu du parcours des
personnages, ponctué de chants et de danses. L’assistance public a
également salué les talentueux comédiens Selma Mayala, dans le rôle du
fils et Laure Bandoki dans celui de la mère, qui ont réussi à incarner
avec brio l’évolution des caractères de leurs personnages, tout en
gratifiant le public de joyeux pas de danse et de chants poignants. Le
père perdu, le père absent était incarné par Georges M’Boussy à travers
de courtes apparitions où sa voix grave mettait en exergue la tragique
situation de sa nature. Au final, la pièce aborde à travers le
mécanisme de la parabole, des questions actuelles qui sont posées dans
les majorités des pays africains victimes de violence, fruit d’un passé
meurtri. Pour aller au-delà de cette tragédie et construire une
génération sereine, il est peut-être important de défier les lois de la
fatalité. Pour cela, il faudrait avoir le courage d’affronter le poids
du vécu des aïeux, pour préserver l’espoir de se projeter dans un
avenir meilleur. Celui où disparaît la peur des ténèbres qui sommeille
au fond de l’être, cette violence latente héritée du traumatisme des
stigmates subis par les générations précédentes, marquant au fer rouge
l’histoire des Africains. Une Afrique qui puisse transcender son passé
pour construire un présent serein et vivre un avenir meilleur. Au
final, le véritable défi est d’oser affronter en face les blessures de
l’histoire, au-delà du vécu de ses prédécesseurs, au-delà de la
fatalité des convictions empreintes de préjugés pour pouvoir vivre
pleinement une vie sans peur
de l’autre et sans sang qui coule, au milieu des éclats de rire d’enfants à l’innocence retrouvée.
S. A
Le 2ème Festival international du théâtre d’Alger sous le signe de la continuité
La 2ème édition fait la part belle aux échanges et aux arts de la parole
Par Sihem Ammour
La
deuxième édition du Festival international du théâtre d’Alger (Fita) se
déroulera du 14 au 25 octobre prochain au Théâtre national algérien
(TNA), au palais de la Culture et à Azur-Plage, avec la participation
d’une vingtaine de troupes venues des cinq continents, a annoncé, hier,
Brahim Noual, commissaire du Fita, lors de la conférence de presse
qu’il a animée au TNA, en compagnie du comité exécutif, afin de
présenter les grande lignes de cet événement dédié au 4ème art.Le
commissaire du festival a aussi annoncé que la grande nouveauté de
cette édition est la nomination de M’hamed Benguettaf et Sonia en tant
que présidents d’honneur du festival.
A cet effet, Brahim Noual a
souligné que «c’est un grand honneur pour nous d’avoir deux
personnalités théâtrales de cette envergure en tant qu’ambassadeurs du
Fita, qui nous font partager leurs précieuses expériences, tant sur le
plan de la création que celui de la réflexion créatrice.» Il a ajouté
que «le festival sera placé sous le signe de la continuité avec la 1re
édition qui s’est déroulée dans le cadre du Panaf, dans un esprit
d’ouverture, d’échanges et aussi de militantisme car nous avons été
formés à l’école du regretté Mustapha Kateb». Le commissaire du
festival a aussi annoncé que dans cet esprit, les amateurs du quatrième
art seront conviés à assister à des représentations de différents
styles et thématiques entrant dans le registre du théâtre festif, du
théâtre engagé ou du théâtre qui reflète les préoccupations du peuple,
afin de susciter un réel échange d’expériences, de pratiques, mais
aussi pour nourrir les débats pour l’émergence de nouvelles idées
créatrices. Les troupes et les invités participant sont venus
d’Afrique, d’Europe, du Moyen- Orient, d’Asie et d’Amérique latine, à
l’exemple de celles venues du Bénin, du Sénégal, du Niger, du Japon, du
Maroc, de la Tunisie, de Palestine, d’Irak, de la Jordanie, de France,
de Belgique, d’Italie, d’Angleterre et bien sûr d’Algérie. Dans un
autre registre, Brahim Noualm a annoncé que des journées d’étude seront
consacrées à la thématique intitulée «La narratologie et les arts du
spectacle vivant», qui se dérouleront du 18 au 21 octobre prochain à
Azur-Plage. Trois axes principaux seront débattus lors de ces
journées ; Le premier axe est celui du chant épique et de la poésie
narrative sous le titre générique de «Homère, de l’imzad, du blues au
slam». Le deuxième axe abordera la problématique de l’espace scénique
et la dramaturgie à travers les rencontres intitulées «Corps, mémoire
et récits». Et, enfin, le troisième axe sera consacré au «Théâtre et
histoire de vie : divertissement ou avertissement». Dans le cadre de
ces journées, en plus des différentes interventions et conférences
présentées, des rencontres autour du conte et l’art de la parole seront
animées par des artistes, des conteurs nationaux et internationaux au
niveau de plusieurs espaces et placettes à l’exemple de l’esplanade du
TNA, du kiosque de Port-Saïd, du Bastion 23, du Musée de la
calligraphie, de la Maison de jeunesse de Staoueli et de Bab
Ezzouar.Par ailleurs, plusieurs ateliers seront organisés dans le cadre
du Fita, encadrés par des spécialistes algériens et étrangers, à
l’instar des ateliers d’ actorat, d’écriture dramatique et de critique
de théâtre. De son côté, le chargé de communication du festival a
ajouté que la poésie et la littérature seront également les invités du
festival avec l’organisation des après-midi poétiques et littéraires
dirigés par Abderezerak Boukeba et une rencontre avec des spécialistes
des médias pour débattre de la place du théâtre dans la presse écrite.
De même, une heure avant chaque représentation, les festivaliers
pourront assister à des ventes-dédicaces d’auteurs qui présenteront
leurs nouvelles publications dans le cadre du Fita. Il a conclu en
soulignant que l’une des plus grandes aspirations du festival est de
devenir une référence internationale dans le calendrier des festivals
dédiés au 4éme art avec la motivation que cela puisse participer
activement à la promotion et la démocratisation des arts du spectacle
en Algérie, surtout auprès de la nouvelle génération.
Zenga-Zenga Théâtre représente le Congo-Brazzaville au FITA, Alger
Deuxième festival international de théatre d'Alger Fenêtre ouverte sur les arts de la parole
Publié le 23/09/2010 à 03:49 - 21 visites
Source : elwatan
La narratologie et les arts de la parole seront au cœur des débats du Festival international du théâtre d’Alger (FITA) prévu
du 14 au 25 octobre prochain.
La deuxième édition du Festival international du théâtre d’Alger (FITA) aura lieu du du 14 au 25 octobre prochain, et sera présidé par Sonia et M’hamed Benguettaf. «Deux présidents qui nous ont proposé des personnalités et un programme et vont nous parrainer pendant deux ans. Nous voulons aller au-delà de ce que nous avons fait cette année et celle d’avant. Nous voulons travailler avec les jeunes mais être guidés aussi par les anciens. C’est un rapprochement à la génération», nous a déclaré Brahim Noual, commissaire du festival. Le quatrième art palestinien sera à l’honneur de cette manifestation avec la présence de deux troupes.
La Tunisie, le Maroc, la Jordanie, l’Argentine, la Belgique, le Congo-Brazaville, le Niger, Oman, l’Italie, la France, la Russie, le Togo, le Mali, le Bénin et l’Allemagne participent également au festival. La présence du Kosovo n’est pas encore confirmée. Deux journées d’étude sur la narratologie et les arts de la parole auront lieu en marge de la manifestation, elles vont se dérouler au complexe d’Azur Plage. Les Algériens Abdelhamed Bourayou, Mansour Benchehida et Djamila Zegaï, le Palestinien Kamel El Basha, le Libanais Pauls Mattar, le Marocain Abderrahman Ben Zidane, le Béninois Honorat Aguessi, le Belge Christophe Cotteret, le Jordanien Gannam Ghannam, le Togolais Adika yawo et la Française Claire Ganjon sont les principaux intervenants lors de ces journées de débat.
Un espace pluridisciplinaire
«Nous voulons créer des passerelles entre les universitaires et les hommes de théâtre. Il y aura aussi des moments de pratique et de convivialité entre eux», a indiqué Brahim Noual. Il est prévu également cinq ateliers devant aborder des thématiques liées à l’actorat, à l’écriture dramatique, à la mise en scène, à l’expression corporelle et à la critique de théâtre. Ils seront, entre autres, encadrés par Nadia Bousennoun, Ivan Romouv et Saïd Ennadji.Il y aura aussi une rencontre-débat avec les hommes de la presse proposés par le romancier et journaliste Abderezak Boukebba. Sont prévus aussi trois jours de network entre les professionnels algériens du théâtre avec leurs homologues étrangers. «Il s’agit des échanges au niveau du théâtre.
Il y a la périphérie de ce festival, il y a le théâtre qui est invité et qui s’invite avec la littérature et la poésie. Il y a donc des moments dédiés aux arts de la parole et de la plume», a ajouté le commissaire du FITA. Un autre atelier sera lancé avec le début du festival et traitera du théâtre de l’improvisation. «Nous voulons ouvrir les portes aux jeunes qui voudront connaître plus le théâtre, dont celui de l’improvisation. Cela est un moyen de populariser cet art. Et pourquoi ne pas créer un jour la ligue du théâtre de l’improvisation», a expliqué Brahim Noual. Selon lui, il est important de tisser des partenariats ouverts sur la Méditerranée et sur l’Europe.
Dans cette optique, les commissaires des autres festivals du théâtre (Mostaganem, Médéa et Sidi Bel Abbes) ainsi que celui de la Marionnette sont invités à participer au FITA dans cette optique de partenariat. «Ils seront des interlocuteurs de nos partenaires étrangers. Nous voulons être un maillon de cette chaîne. Nous voulons travailler ensemble», a-t-il observé.
Fayçal Métaoui