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27 septembre 2009

TIESESE CULTURE INFOS 3 L’artiste Malgache MIKEA, de son vrai nom Théo Rakotovao, s’est produit au CCF, avec son groupe le mard

Concert.

L’artiste Malgache MIKEA, de son vrai nom Théo Rakotovao, s’est produit au CCF, avec son groupe le mardi 22 septembre 2009, avec un répertoire riche de 15 titres aux sonorités originales dans, un style qualifié de Beko n’ Blues ou la façon de chanter le blues au Madagascar.

Cette tournée du groupe malgache MIKEA a commencé en France au mois de mai 2009 et se poursuit en Afrique, où il est déjà passé  à Djamena au Tchad, à Libreville au Gabon, à Kinshasa en République Démocratique du Congo,  à Pointe-Noire, puis présentement à Brazzaville en République du Congo. Cette dernière va se poursuivre dans plusieurs autre villes et pays à l’instar de Bamako au Mali, Conakry en  Guinée, en Roumanie, sans oublier le Madagascar, pays originaire des membres de ce groupe. Les artistes auront au total, encore dix dates relatives à cette tournée, pendant lesquelles le lauréat de l’édition 2008 du Prix découvertes RFI, fera montre de son talent.

Crée en 2003 par Théo Rakotovao, le groupe MIKEA s’est révélé à la scène mondiale grâce à son leader qui porte maintenant le même nom comme pseudonyme, nom emprunté au peuple du sud ouest (Masikoro) de la Grande Île qu’il représente actuellement à travers sa musique. Le choix de MIKEA comme nom de groupe a pour motivation principale de parler de la culture malgache qui semble ne pas être connus: c’est parler d’une des diversités culturelles du monde. Et maintenant pour eux c’est aussi parler de la culture africaine, de la culture universelle...

MIKEA le leader du groupe, lauréat de ce prix RFI pense que la richesse de l’Afrique se trouve aussi dans sa culture, et beaucoup de pays dans le monde se sont fait connaître grâce à la musique, aux arts, à la culture. Et ces activités artistiques doivent se faire sans copier ce que les autres ont fait ou font,  les artistes doivent travailler davantage pour mieux assumer ce rôle. En tout cas pour MIKEA, la musique est devenue leur  moyen de voyager et d’aller à la rencontre des milliers des gens auxquels ils peuvent parler de leur pays...

Le thème fondamental de ce concert tourne autour de la chanson « Vonjeo Gnolomaro », placé en quatrième position dans le répertoire et qui signifie en français « Aide les gens » : c’est pour donner ce message à l’endroit des gouvernements et de tous ceux qui ont les moyens, des capacités, pour qu’ils aident les gens…

Que ces derniers aident les gens par la construction des infrastructures et permettre ainsi un avenir meilleur à la population : aider à l’épanouissement de la culture africaine aussi, bref une aide qui doit être effective dans tous les domaines de la vie.

Prévu pour 19 heures sur les affiches, le spectacle a débuté autour de 19H30’, par le premier titre du répertoire « Taholy », qui a été interrompu à cause  d’un petit problème technique au niveau de la régie son, mais qui a été très vite rétablie par les techniciens de la salle du C.C.F. de Brazzaville, où s’est déroulé ce concert.

Les artistes sont revenus sur scène pour poursuivre le début de leur concert. Théo Rakotovao a remercié le public pour son attente, tout en s’excusant pour la première chanson interrompue. Puis il a présenté la guitare Kabosy, guitare à quatre cordes malgache, en précisant qu’il joue à cet instrument depuis sa tendre enfance. Ensuite il a donné le titre de la deuxième chanson « Hazolava »: disant au public, que celle ci allait leur permettre de faire ensemble un voyage à Madagascar.

Les autres titres du répertoire ont été les suivants: Niny, Vonjeo Gnolomaro, Vinanto Mamy, Fety, Mamarahy, Filongoa, Many, Tsenazoma, Hey Joe, Nagnaia reliny, Longo Raty, Mba Nagnino et Longo.

C’est à travers une voix pleine d’émotion de Théo Rakotovao, une voix profonde sans effort considérable dans l’expression des cordes vocales, que pendant presque une heure, le lauréat du Prix Découvertes RFI a emballé le public brazzavillois: pari gagné.

Par exemple lors du passage de la chanson « Niny » où l’artiste chantait pour rendre hommage à sa mère qu’il n’avait pas vu depuis qu’il a quitté sa région natale, le public est resté plus attentionné que jamais: faisant semble t-il de cette évocation maternelle, une évocation commune.

Par contre le titre n° 9 « Many » a largement détendu les spectateurs, qui chantaient en choeur les syllabes MA NY à la demande du musicien, pour l’accompagner dans cette chanson certes profonde, mais d’une profondeur qui vous ouvre à l’humanité, à l’universalité…

D’une équipe de cinq personnes en tournée, le groupe MIKEA a été composé des artistes suivants: Théo MIKEA (au chant et à la guitare Kabosy), Mbossa (à l’extrême gauche de la photos ci contre; à la guitare acoustique), Do (à droite de la photos avant Théo; à la batterie), Johnny (à l’extrême droite, à la guitare basse) et Xavier, du côté de la régie son.

Mue M’PUATI Luemba

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27 septembre 2009

TIESESE CULTURE INFOS 2 En séjour de travail à Brazzaville - lors de la réalisation et la production d’un concert et spectacle

Interview.

En séjour de travail à Brazzaville - lors de la réalisation et la production d’un concert et spectacle du griot congolais Ardos MASSAMBA - Chrysogone DIAGOUAYA danseur, chorégraphe et « producteur » a bien voulu nous accorder cette interview.

Tièsèse: Bonjour Chrysogone Diangouaya! Est-ce que tu peux faire une brève présentation de toi-même ?

Chrysogone Diangouaya : Bonjour! Je suis Chrysogone Diangouaya, je suis danseur chorégraphe et actuellement, je viens d’ajouter à mon statut d’artiste, celui de producteur de temps en temps…

T: Tu te lances dans la carrière de production ou tu es seulement producteur de temps en temps ?   

C.D.: En fait j’ai d’abord le statut d’intermittent, parce qu’en Europe on doit avoir un statut, et je me suis mis dans ma propre boite en créant une entreprise individuelle avec laquelle je peux produire et diffuser des œuvres artistiques…

T: Et comment elle s’appelle cette structure? Et elle est domiciliée où?

C.D.: Elle se dénomme CD Production. C’est est une entreprise individuelle, elle est nominative. C et D étant les initiales de mon prénom et de mon nom. CD Production est domiciliée en France.

T.: Mais c’est autre chose qui était écrit sur la banderole annonçant le concert de Ardos Massamba…

C. D.: Par rapport à ce spectacle du 12/09/2009, nous avions une structure à Brazzaville « L’association des jeunes créateurs » qui s’en occupe; j’ai accepté de produire Ardos Massamba en sachant que moi-même je suis artiste et j’ai la sensibilité de l’art ; je ne suis pas un commerçant comme certains producteurs qu’on voit sur la place.

Donc je collabore avec « L’association des jeunes créateurs » ici … et ma boite de production qui est en France, parce que je suis aussi dans l’optique de créer un festival d’art africain et d’ailleurs à Paris.

T.: Alors, parlez nous de ce qu’a été votre séjour à Brazzaville, notamment sur ce spectacle de Ardos Massamba que vous aviez produit dernièrement.

C.D.: Bien qu’étant citoyen du Congo, je remarque qu’au fur et à mesure que le temps passe, on continue d’amasser beaucoup de difficultés, il n’y a pas de soutien. Pour cette prestation, il y a Jean Jacques YOMBI OPANGAULT qui a essayé de nous aider financièrement pour la location de la salle de spectacle du CCF de Brazzaville, mais pour le reste, on est obligé de se débrouiller nous mêmes: il n y a pas une structure qui nous a sponsorisé.

T.: En bref qu’est ce que c’est que ce spectacle de Ardos Massamba?

C.D.: Bien que je suis danseur chorégraphe, j’ai aussi une autre sensibilité en tant qu’artiste. J’ai connu Ardos Massamba en tant que griot, et là j’ai vu comment il a évolué et je pense que sa première œuvre, son album qui est sur le marché méritait d’être beaucoup publié et c’est pas bien médiatisé: voilà pourquoi je suis venu à sa rencontre pour qu’on essaie de travailler sur la thématique de ses chansons, que je peux dire engagée; Secundo,  la vision que je donne en tant que producteur c’est une autre vision: c’est pas le producteur qui regarde comme ça, mais c’est un producteur qui essaie de mettre la main dans la patte. Donc je mets en action mes capacités de metteur en scène et de chorégraphe. Du coup les gens qui avaient l’habitude de voir Ardos, étaient surpris par ce que ce n’était pas un simple concert, mais un grand spectacle où Ardos s’est produit avec 14 danseurs et  8 musiciens. Ces derniers ont travaillé sur son répertoire et ça n’a pas été seulement des chansons, mais aussi de la danse et de la musique. Tout cela a été une fusion où les gens ne sont pas seulement venus voir l’artiste seul mais l’artiste entouré des autres artistes qui l’ont soutenu dans, le mystère de perception de l’art congolais.

T.: Si je comprends bien, il y a eu un engagement qui a fait que vous n’étiez  pas seulement producteur mais aussi chorégraphe de ce spectacle, il  me semble.

C. D.: Oui. Évidemment j’ai monté les chorégraphies en fonction des chansons de son répertoire qu’il a joué. Donc j’avais écouté la thématique et j’ai essayé de composer et surtout j’ai essayé de former quelques danseurs en deux semaines et demi: les gens vont dire que ce n’est pas possible. Bon j’ai voulu un peu mettre l’impossible au possible, donc il y a eu une bonne partie des danseurs qu’on a découvert sur scène qui n’ont jamais dansé, mais qui sont amoureux des morceaux, chansons de Ardos Massamba. A travers toutes ces énergies, j’ai travaillé une énergie chorégraphique pour canaliser et essayer de partager avec le public le bonheur qu’on peut donner sur scène.

T.: Il me semble qu’il n y a pas beaucoup de congolais qui se lance dans une aventure telle que tu es entrain de le faire ?

C.D.: T’a raison… mais je pense que les gens me font confiance, et quand je dis que je n’ai pas d’argent, on met la main dans la pâte et on fait avec. Secundo je n’ai pas eu encore la chance d’avoir des subventions ici comme à l’extérieur. Quand je viens c’est l’occasion de partager ce que j’ai appris là bas. Les danseurs qui ont travaillé sur ce spectacle savent qu’ils ont appris quelque chose, Ardos aussi a appris quelque choses et moi-même en donnant j’apprends quelque chose parce que je sais que  « seul l’amour connaît le secret de s’enrichir en donnant ».

T.: Tu es un artiste de talent, reconnu depuis plusieurs années au Congo, en France comme ailleurs dans le monde entier. On te voit à travers ton festival « Mabina Danse » qui existe depuis longtemps au pays et des gens que tu y ramène pour découvrir les richesses de notre culture : c’est quand même immense tout ça. Comment expliques tu  que tu n’arrive  pas à décrocher des subventions sur le plan national qu’international ?

C. D. : C’est très difficile. Nul n’est prophète chez soi. Au niveau de Brazzaville, les gens ne vont pas dire qu’ils ne me connaissent pas. J’envois mes dossiers aux autorités, aux organisations pour leur demander de l’aide, mais c’est vain. Par contre au niveau des États-Unis ou de la France je jouis d’une bonne considération… Du coup je ne veux pas forcer les choses… Je vais essayer de renverser l’échelle des valeurs en ramenant ces gens qui croient en moi ici au pays pour qu’on sache que ce que je fais a une valeur. Tout au long de mon parcours en dehors de mon pays, j’ai appris, j’ai la fierté d’être ce que je suis et de me battre, d’arriver jusqu’au point de valoriser cette danse qui est la danse congolaise.

T.: Tu parles d’une grande perspectives, en plus à Paris, pas dans n’importe quelle ville du monde, de l’organisation prochaine d’un festival des arts et de la culture africaine, dis nous quelques mots à propos.

C.D.: Ayant remarqué qu’au Congo que ça ne marche pas, je suis toujours là à forcer les choses… et comme j’aime l’art j’ai donc crée un autre festival à Paris. Qu’est ce que j’ai fait ? J’ai crée un collectif des associations et en tant que producteur je ne fais que les chapeauter. J’ai parlé à des amis qui sont très sensibles et qui ont accepté cette idée de collaborer. Alors au lieu de restreindre la thématique du festival, j’ai essayé de l’élargir en n’essayant pas de limiter le contexte uniquement au Congo. Du coup il y aura des Antillais qui seront là, des Français, évidemment des Congolais dont Ardos Massamba, Chao de Kingoli que je vais aussi inviter… Du coup je me retrouve dans une situation où je suis très content, parce qu’il y a des gens qui vont m’aider, il y  a même des écoles qui sont partant pour être partenaires… Il y aura des peintres, des sculpteurs, des danseurs, des musiciens, des slameurs… ça fait un gros paquet. Et là, quand je suis entrain de préparer l’organisation de la première édition, tout le monde  qui a bien compris les objectifs, veut me soutenir et participer : il y a même des bénévoles telle que Martine qui est une grande conteuse et metteur en scène de Lyon, qui va se déplacer et venir, j’ai un ami musicien américain qui vient jouer gratuitement… Il y a l’affluence maintenant. Bien que j’ai bouclé  il y a des gens qui continuent de solliciter. Puis je me dis, si ça marche, je vais voir ce que les autorités et sponsors d’ici vont devoir apporter. Sinon je vais me consacrer au niveau de la France.

T: Ça sera une première édition, ce festival ?

C. D.: Absolument. Le nom du festival c’est « KA BAA », qui veut dire partager, le KA c’est comme le tambour guadeloupéen, le BAA c’est le palmier mais aussi le verbe « être ».

T.: Ça se passe en quelle période, en quel mois ?

C. D. : Ça se passe tout le mois d’avril et de mai 2010 soit pendant deux mois. J’appelle cela un festival itinérant. Il y aura par exemple des peintres qui vont exposer pendant un mois ou deux, et des danseurs qui vont aussi travailler avec ces peintres, qui vont faire si possible des spectacles autours des expositions de peinture. On ne jouera pas tous les jours. Par semaine il y aura au moins quatre spectacles ou prestations, il y aura des stages et formations en danse  et de chants, des ateliers de contes… Comme on sera vraiment nombreux, on veut donner la possibilité à tout le monde de s’exprimer… Et puis ça touche tous les milieux, les activités auront lieu dans les écoles, dans des lieux de spectacles comme en plein air...

T.: Pour clore, est ce que tu as quelque chose à dire aux artistes congolais, comme à ceux du monde entier ?

C.D.: Dans l’art on ne peut jamais atteindre la perfection, pour ceux qui croient il faut aller de l’avant, avancer car tout un chacun est le carrefour de l’autre. On doit persévérer et se donner des coups de mains pour avancer.

Mue M’PUATI Luemba

27 septembre 2009

TIESESE CULTURE INFOS 1

Spectacle - concert.

ARDOS MASSAMBA,

Samedi 12 septembre 2009 : c’est dans une salle archi comble du Centre Culturel Français, Espace André Malraux de Brazzaville, que s’est produit l’artiste congolais  Ardos MASSAMBA. Centre Culturel Français Espace André Malraux de Brazzaville, Place des Anciens Combattants: 18 heures, dans le hall se tassent au fur et à mesures que les minutes se succèdent, des centaines de personnes en petits ou en grands groupes: elles sont venues toutes à ce spectacle - concert, pour applaudir le griot Ardos MASSAMBA, qu’elles écoutent habituellement chez eux, dans les coins de rue, dans les bars, à la radio… depuis que son album est sur le marché.

Prévu à 18H00 précises, c’est évidemment à 18H30 que tous ces mélomanes ont commencé à intégrer la grande salle de spectacle du CCF en se bousculant presque. Et quelques instants après, le « concert » attendu a commencé avec une entrée fabuleuse de CHAO du groupe de danse Kingoli de Brazzaville.   

C’est une entrée surprise pour cette activité artistique, et les spectateurs s’emballent tant ils sont séduits par le talent de l’artiste qui s’exprime à coté de ses deux danseuses, des joueurs d’instruments, et sous une musique qui ne pouvait qu’émouvoir ces auditeurs.1

9H00, la salle de spectacle du CCF est comble. Soit plus de cinq cent personnes assises et d’autres debout, applaudissent vivement, en poussant des cris de joie, Ardos MASSAMBA qui fait son entrée faste sur scène: on dirait un  de ces princes du Kongo apparaissant lors d’un sacre.

Ce n’est pas à un simple concert de musique, auquel on a assisté, mais à un vrai spectacle richement paré, un spectacle riche, en chants, en danses et chorégraphies originales, avec une mise en scène qui lie toutes les différentes parties avec une telle cohésion, à en croire certains spectateurs que c’était époustouflant...

S’enchaînent les morceaux de l’album de l’artiste au talent indéniable, un album qui est sur le marché depuis quelques années et que ces mélomanes venus nombreux applaudir, suivent attentivement en essayant de chanter en chœur avec Ardos MASSAMBA...

L’artiste se change plusieurs fois sur scène, comme dans un spectacle de théâtre classique. Et pour ce faire un cortège l’accompagne à l’arrière de la scène, près du rideau de fond, dans une sorte de hangar en bois revêtue de feuilles de palmier. Le cortège le fait entrer et retourne l’entrée de l’hangar vers le rideau. Après quelques instants, comme dans un spectacle de prestidigitation, c’est un Ardos MASSAMBA différemment vêtue qui nous apparaît ! Des applaudissements nourris l’accompagnent quand il arpente la scène pour venir s’asseoir sur son tabouret de musicien et devant son pupitre… Puis tour à tour se sont succédés les titres de l’album intitulé « L’Afrique qui pleure » : Le malheur de l’Afrique, Unité nationale, Mputu Yo, L’Afrique qui pleure; Luzabu (la connaissance), Kongo di muagané, Samba samba (une interprétation de Jacques Loubelo), Bibelo (une interprétation de Théo Blaise Nkounkou), Nkumbi.

Dans une chorégraphie, une mise en scène et une production signée: Chrysogone DIANGOUAYA; nous tenons à signaler que ce spectacle concert itinérant est une co-production de l’Association des Jeunes Créateurs et CD Production.   

Ont été présents sur cette scène du Centre Culturel Français tout au long de cette fastidieuse prestation : 14 danseurs sans compter des figurants, 8 instrumentistes et quelques autres régisseurs plateaux, régisseur son et régisseur lumière...

A la fin  de son spectacle  Ardos MASSAMBA nous a donné ses dernières impressions:

Tièsèse: Quels sont vos impressions après un tel spectacle époustouflant avec une, mise en scène, mise en lumière, mise en sons, mise en danses…?

Ardos Massamba: Voilà… Mes impressions sont très bonnes… Je pense tout de même que ce spectacle était trop brusque, vu le temps qu’on appris à le préparer… parce que nous l’avions préparer en deux semaines… mais quand même nous avions pu faire quelque chose. Nous avions fait énormément d’efforts pour au moins satisfaire le public…

T: Et, à quand la prochaine représentation à Brazzaville?

A. M. : Je crois que c’est l’année prochaine, entre mars et avril 2010, ce sera un nouveau spectacle, car il y a un nouveau produit en vue… Là, je suis en studio. J’ai presque fini l’enregistrement et il ne reste plus que la reproduction, la duplication des CD et K7 de l’album sur le marché.

T.: Il y a t-il un dernier mot à dire à vos mélomanes?

A. M.: En fin… s’ils peuvent me soutenir moralement, spirituellement et financièrement...            

                                                                                                                                                                                                                      Mue M’PUATI Luemba

10 septembre 2009

Sortie de livres : Roman

"Sur les ailes du temps" de Bernard Tchibambelela                                                                         Editions Paari de Brazzaville

Sur_les_ailes_du_temps_2Sur_les_ailes_du_temps

10 septembre 2009

Sortie de livres : Théâtre

"Sur la braise" une adaptation du roman de Henri Djombo                                                                      par Mue M'Puati Luemba.                                                                                                            Editions HEMAR de Brazzaville

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